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molenews - Page 4

  • Res@tice

    Le réseau Rés@tice a été créé il y a 15 ans.

     Ce réseau vise à favoriser les partenariats entre les chercheurs de la francophonie du Sud, de l?Est et du Nord, à soutenir la diffusion de la recherche et d?assurer une animation scientifique dans le domaine des TICE, en lien avec des pratiques existantes ou émergentes et dans l?attention portée à la diversité des contextes et des cultures. Le Guide des procédure explique le fonctionnement du réseau dans le cadre régit par l?AUF et détaille les actions présentes et à venir.

     Il existe une vingtaine de réseaux scientifiques francophones au sein de l?AUF. Le réseau est coordonné par Jacques Wallet de l'Université de Rouen (France) et animé par un Comité comprenant, outre le coordinateur, Bernadette Charlier de l?Université de Fribourg (Suisse), le programme de recherche TEMATICE (France),  Vélina Slavova, Université de Sofia (Bulgarie), Mokthar Ben Henda, Université de Bordeaux3 (France),  Christian Depover , Université de Mons (Belgique), Thierry Karsenty , Université de Montréal (Canada),  Nacuzon Sall, Université UCAD de Dakar (Sénégal).

  • Conception de sites web : une nouvelle ergonomie grâce aux systèmes mobiles

    Les tablettes et les smartphones sont des terminaux qui influencent la création des sites web par leurs contraintes mais également par leurs capacités. Malgré des écrans de petites tailles, des performances techniques limitées, des connexions plus lentes, les internautes s'approprient et consultent ces appareils dans des conditions très mobiles (déplacements, transports) mais également sédentaires (dans leurs propres logements) avec de nouvelles modalités de consultation (sofa, fauteuil, lit, etc).

    mobile first.JPGCes comportements produisent de nouvelles possibilités de navigation sur Internet, mais aussi de web-commerce : le positionnement sur les résultats de recherches mobile deviennent ainsi un enjeu pour le SEO et le référencement Google . C'est le terme de couch-commerce (commerce depuis son divan) proposé par Amazon et Ebay pour désigner les acheteurs en ligne depuis leurs tablettes. On parle également de second-screen  pour illustrer le fait de consulter ses mails ou naviguer sur le web, chez soi, sans allumer son ordinateur ; simplement depuis son smartphone ou sa tablette.

    Mais au delà des nouveaux comportements qu'ils induisent, ces appareils influencent également les créateurs de sites. Face à une évolution permanente et très rapide, les web-designers sont confrontés à de nouvelles contraintes techniques. La navigation tactile, les tailles réduites des écrans, les nouveaux systèmes de saisie de texte, et bien d'autres aspects remettent en cause l'ergonomie des sites web. Il n'est plus question d'afficher une page sur un écran plus ou moins homogène tel que celui d'un ordinateur. Il faut créer des sites pour des écrans multiples et plus réduits, sélectionner l'information, la fragmenter, cela va de soi, de même qu'adapter les tailles des boutons aux doigts des internautes. Et toujours avoir une optique "référencement", visibilité sur les moteurs de recherches.

    C'est aussi l'émergence d'une nouvelle manière de présenter l'information : moins de menus inutiles, des affichages simplifiés et sur des écrans successifs, à la différence des interminables menus déroulants des sites web classiques. Les appareils mobiles sont également munis de capteurs (caméra, GPS, accéléromètre, compas numérique, détecteur de proximité, de luminosité) qui sont autant d'interfaces de saisie d'information à la disposition des concepteurs d'applications web. Il s'agit alors de créer des mises en pages flexibles (adaptables à divers écrans), fluides, réactives, et de réduire le plus possible le nombre d'éléments affichés, tout en réduisant la complexité. C'est la théorie du designer américain

    Luke Wroblewski dans son livre Mobile First  : créer un site pour le web mobile en priorité et l'adapter ensuite aux écrans d'ordinateur.

  • Le pari de l'inovation avec Library

    Voilà longtemps que LT développe des aides contextuelles assez remarquables (la basse de "connaissances communes") qui permet de déclarer les récompenses que les livres ont reçues, mais également des personnages, des lieux, etc. Regardez un exemple très simple, la qualité du classement de Thorgal, la série BD de Rosinski où l'on trouve les lieux (bienvenue à Asgard et d'un coup voici tous les livres qui évoquent ce lieu...), les personnages principaux, et même les cycles dans le cycle... Peu d'outils bibliographiques arrivent à ce degré de précision. Il ne manque plus qu'à introduire des critères de style, permettant aux lecteurs de qualifier l'oeuvre selon son contenu comme le fait Culture Wok .

    LT propose désormais un impressionnant ensemble de statistiques personnelles, me permettant de voir que, sur les 805 livres que j'ai entré dans mon profil, j'ai tendance à lire essentiellement des romans dont la langue originelle est le français ou l'anglais. Que la note moyenne que je mets aux livres que je lis est de 2,91, juste au-dessus de la moyenne (dommage qu'on ne puisse pas encore séparer par genres). Que je devrais a peu près avoir lu 86 livres cette années (une bonne part de BD), ce qui n'est pas si énorme.

    library.JPGEn plus des recommandations automatiques, provenant de son algorithme, LT propose désormais les recommandations des membres : c'est-à-dire que chaque utilisateur peut proposer sous le livre de son choix, la recommandation qu'il juge pertinente, et les autres membres pourront voter pour ces propositions, permettant de faire remonter celles qui semblent les meilleures. D'un coup les recommandations prennent une autre dimension. Prenons mon exemple préféré, Vers la guerre : La Chine et l’Amérique dans le Piège de Thucydide ?, Graham Allison , je peux désormais enfin proposer au système automatique une correction. Je peux enfin corréler Allison et Jorge Amado (LT était le seul des outils de recommandation à y parvenir), mais là, je peux agir sur le classement (enfin, si les autres utilisateurs m'y aident).

    En croisant les données, les bases de données, en ouvrant à la participation des bibliothécaires amateurs que sont chacun des utilisateurs et des lecteurs, LT se dote d'un des plus formidable outil qui soit, comme je le redisais récemment, bien meilleur en qualité de recommandation et en finesse que Google ou Amazon. A terme, plus puissant. LT est la Wikipédia du catalogue bibliographique. Il ne lui manque plus grand chose pour atteindre la perfection du catalogage, comme d'intégrer des critères de styles... Qu'il permette affiner ses statistiques. Et surtout que les passionnés l'envahissent. En faisant le pari de l'innovation avec les lecteurs, avec leur exigence, LT a construit le plus intéressant catalogue qui soit.

  • Le virtuel au service du patrimoine

    Le portail culture.fr présente une liste de nombreuses visites virtuelles en audio et vidéo en France comme à l’étranger relayé par le magazine du patrimoine UCQPAB :

    • Des visites audio et vidéo sur différents sites du château de Versailles, à télécharger sur son baladeur ou téléphone avant de se balader dans les jardins

    • les expositions virtuelles de la BNF

    • Des vues panoramiques et cartes postales anciennes du Reims des années 20

    • Des vues panoramiques du Musée de la Musique

    • Le musée national des Arts asiatiques à Paris

    • Les chemins de mémoire autour des grands lieux civils et militaires français

    • le musée d’art moderne de Sao Paulo (Brésil)

    Parmi les nombreux sites en français qui vous proposent d'écouter et télécharger des visites de sites et lieux patrimoniaux, zevisit et mp3 travel proposent un grand choix en France et à l'étranger. Le guide en ligne Citizeum utilise les dernières technologies du web 2.0 (cartes thématiques, tags, audio et vidéo, contributions d'internautes ...) pour faire découvrir de nombreuses destinations touristiques et culturelles.

    Patrimoine en ligne

    Les internautes peuvent consulter sur Internet une somme importante du patrimoine mondial numérisé. A l'image de la
    Bibliothèque municipale de Lyon, de nombreux centres de ressources mettent en ligne leurs collections. Tous les champs sont concernés que ce soit l’écriture, les œuvres d’art, les archives sonores … Même les archives du très jeune réseau Internet sont concernées ! Le portail culture.fr recense de nombreuses ressources numériques, parmi lesquelles l'anthologie Gallica, les trésors de la Bibliothèque nationale de France. Nous vous conseillons également :

    • Une sélection des archives de l'INA, avec une spéciale dédicace sur les chansons

    • le patrimoine français numérisé

    • les concerts enregistrés à la Cité de la musique et à la salle Pleyel

    • le patrimoine écrit tombé dans le domaine public et numérisé par la communauté des Internautes : en format texte sur le projet Gutenberg et Wikisource, en format audio sur Librivox et Littérature audio

     

  • Jeux videos signés Rockstar

    Comme vous le savez peut-être, ces temps-ci je suis sur L.A. Noire, et comme vous le savez peut-être aussi, j’ai adoré Fable : The Journey, sûrement ma meilleure expérience vidéoludique à ce jour. GTA IV, même si je l’ai pas fini, m’a intéressé sur de nombreux aspects, et m’a même parfois bluffé. Car je crois que ce qui relie ces trois titres signés Rockstar (même si L.A. Noire a été développé par la Team Bondi, les frères Houser n’étaient pas loin), c’est bel et bien le soin apporté à l’immersion.

    rockstar-jeux-videos.jpg

    Sans Rockstar, les jeux vidéo aujourd’hui perdraient de leur statut. Car ces trois titres, malgré leur qualité inégale, permettent de hisser et de pousser toujours un peu plus loin l’expérience jeux vidéo. Dans un sens, l’éditeur/développeur américain ne cesse de chercher à réaliser ce défi, dans des mondes très différents : arriver à faire oublier la réalité au joueur, et le plonger dans le voyage interactif.

    En dehors du challenge technique qu’ils s’imposent (la modélisation des visages dans L.A. Noire, les villes des GTA, l’univers de western de RDR), ils savent aussi utiliser avec finesse les capacités graphiques des machines en intégrant divers effets spéciaux souvent subtiles, mais indispensables. Je pense par exemple aux pigeons qui s’envolent quand on s’apprête à leur rouler dessus dans LAN, la poussière ou la brume de RDR, ou encore la pluie qui s’abat sur Liberty City de GTA. Le travail sur les éclairages qui abrite les décors (lampadaires, lettres de magasins clignotantes etc.) joue aussi un rôle majeur.

    A cela s’ajoute un scénario dense, qui utilise à merveille l’une des forces des jeux vidéo à savoir la dilatation temporelle (un film dure deux heures, un jeu peut s’étendre jusqu’à 30-50h), permettant de donner une véritable épaisseur aux personnages, d’installer une trame narrative complexe, faite de rebondissements, et parfois construite en montagnes russes (ce qui est moins le cas pour LAN, l’un de ses points faibles).

    Pour terminer ce regard très (très) loin d’être exhaustif, j’aimerais mentionner l’importance du son dans les softs estampillés Rockstar Games. Que ce soit les bruitages ou les thèmes musicaux, ils accompagnent l’action, apportent une couleur à l’image, et constituent même parfois le ciment de la réussite d’une scène (cf. le Far Away de RDR).

    Rockstar est une société brillante, et son co-président, Dan Houser, y tient une place déterminante sur le plan artistique. Sans conteste l’un des directeurs créatifs les plus doués et les plus ambitieux actuels.

     

  • jeu video Rage, premiers pas : (petite) « claque graphique »

    Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas pris ce que l’on peut appeler une « claque graphique ». Alors certes, Rage est loin d’être la plus spectaculaire que j’ai vécue, mais il faut dire que l’on arrive aussi à la fin de cette génération de machines, et il devient extrêmement difficile de surprendre sur ce point. En tout cas, dès les premières minutes, l’effet « waa » était là. Et même si je ne suis pas un expert les concernant, je me doutais bien que John Carmack et sa bande (id Software) allaient préparer quelque chose de lourd…

    rage.JPG

    Ce qui surprend avant tout, c’est le rendu d’ensemble, grâce au moteur fait maison, l’id Tech 5. Le rendu est propre, et joue surtout sur les courbes, ce qui a tendance à offrir une esthétique harmonieuse, très agréable à l’oeil. De ce fait, c’est un plaisir que le monde de Rage soit un monde ouvert, d’une part grâce à cette partie graphique très réussie, et d’autre part grâce au soin esthétique apporté à chaque environnement. Que ce soit au niveau des jeux d’éclairage, de couleurs, on sent réellement le travail, global et minutieux, effectué.

    En somme, voici donc ma première impression et ma première pensée, que j’avais envie de partager, sur Rage qui sort tout juste aujourd’hui sur PC, PS3 et Xbox 360. Cela ne veut absolument pas dire que le jeu est bon dans son ensemble (il est d’ailleurs sûrement répétitif dans ses missions, même s’il me semble aussi prenant grâce à son terrain de jeu soigné, à la fois libre et dirigiste), en revanche, une nouvelle fois, Carmack prouve son talent pour exploiter le potentiel de chaque support (apparemment les deux autres versions sont pareillement fignolées), tout en proposant un univers apocalyptique relativement impressionnant.

    MAJ :

    -à noter que le jeu met une bonne dizaine de minutes à être installé sur le disque dur de la PS3, ce qui n’est pas étonnant.

    -après avoir un joué un peu plus longuement, j’ai noté du clipping (souci d’affichage de textures), qui amenuit, lorsqu’il survient, légèrement le petit « choc » graphique. Mais Rage reste dans tous les cas, à mon sens, un jeu impressionnant techniquement, encore plus sur console de salon (les PCistes étant plus « habitués », si le matériel suit, à des FPS à la technique de haute volée).

  • Webzines et réseaux sociaux : les défricheurs de talents

    Internet s’affirme comme une source d’information très importante dans ce domaine la musique n'est évidemment pas en reste. Les rapports entre Internet et la musique ne se résument pas au téléchargement, puisque les fonctionnalités multimédias du web (audio, vidéo) et l’aspect mondialisé du réseau peuvent techniquement permettre aux artistes de se faire connaître beaucoup plus rapidement.

    « With a little help from my friends »
    De nombreux artistes ont ainsi créés des sites personnels pour informer de leur actualité et mettre en enligne des morceaux ou des vidéos. Ils ont surtout très tôt investi des réseaux sociaux généraux comme
    Myspace ou spécialisés en musique comme CQFD (le tremplin Inrocks) et Deezer afin de profiter du de l’adage « les amis de mes amis sont mes amis (potentiels ». Parcourir la page Myspace d’un pianiste permet de fait de découvrir ses morceaux et des vidéos mais aussi d’autres musiciens inscrits sur sa page.

    Nombreux sont les labels et artistes qui utilisent ce vecteur social pour rebondir, diffuser leur actualité à tout un champ d’amis, vendre en ligne leurs albums, voire comme le propose
    Kim, d’assister à des concerts en tête à tête par webcam ! Peut-on vraiment mesurer l'efficacité réelle de la retombée des réseaux sociaux pour les artistes ?

    Journalistes du net
    Comment découvrir la musique qui me plaira dans cette masse d’informations ? De nombreux sites web utilisent les spécificités du multimédia pour donner de la visibilité à des artistes méconnus : les critiques d'albums sur
    Pitchfork (site en anglais dont le succès a donné lieu à la Pitchfork TV), les sessions de concerts à emporter de la Blogothèque et les morceaux enregistrés par les artistes pour Daytrotter sont rapidement devenus des lieux incontournables pour les amateurs de musique pop-rock-electro par exemple sur https://directory.shoutcast.com/.

    Les médias presse et radio ont vite investi Internet pour proposer des sélections de sites web et de nouveaux morceaux à écouter : les fameuses sessions de
    Bernard Lenoir sur France Inter, les sélections de Diapason pour la musique classique ou Jazz magazine … pour le jazz.

    Les blogs d'amateurs de folk, classique, world et jazz participent également à la diffusion de coups de cœur, potentiellement à des millions d'internautes (
    Jazz frisson, Soundroots…). Bien sûr ils utilisent les technologies de lecteurs audio et vidéo exportables sans payer de droits, mettent des liens vers des sites d’achat en ligne et chroniquent des albums ou des concerts afin de les faire découvrir, d’où une certaine tolérance sur ces pratiques.

  • Les nouveautés high tech attendues en 2020 - fin

    Microsoft lancera assurément sa nouvelle Xbox qui, contrairement à la PlayStation 4 de Sony, sera certainement disponible dans nos contrées en 2013. Ce tant attendu rafraîchissement des consoles sera particulièrement bénéfique pour la qualité graphique, le point faible des modèles actuels par rapport aux PC. Ces consoles « Next Gen » devraient également apporter toute la fluidité nécessaire pour jouer aux jeux vidéos fifa en Full HD sans compromis…

    nouveautes-high-tech-2020.JPG

    A l’heure où les consoles se parent réellement pour le Full HD, c’est l’Ultra HD qui pointe le bout de son nez. Cette année, des téléviseurs Ultra HD seront commercialisés mais à des prix élitistes. A défaut de contenu « 4K », ces téléviseurs devront dans un premier temps se contenter de photos comme contenu en très haute définition. Ceci étant, quand on a goûté à un écran Retina de « seulement » 2880×1800 pixels comme celui du MacBook Pro 15,4 pouces, on ne peut qu’attendre avec impatience le remplacement du bon vieux Full HD !

    Rien ne devrait arrêter le raz de marée des tablettes tactiles. Depuis un peu plus d’un an, elles volent la vedette aux portables qui ont déjà éclipsé les bons vieux ordinateurs de bureau. Apple, Google et Samsung ne manqueront pas de mener un combat sans pitié pour dominer cet el dorado… Comme les tablettes, les smartphones profiteront de meilleurs prestations et de capteurs plus performants tout en devenant toujours plus abordables.

    2020 s’annonce donc comme une année de transition avec plus d’évolutions que de révolutions. Mais qui sait, cette année nous réserve peut-être de bonnes surprises…

  • Les nouveautés high tech attendues en 2020

    Il est toujours intéressant de démarrer l’année en s’intéressant aux nouveautés attendues. De prime abord, 2020 ne devrait pas nous apporter de grosses révolutions au niveau du hardware mais plutôt des évolutions. Les consoles seront par contre à l’honneur avec l’arrivée des modèles « Next Gen » tandis que l’Ultra HD pointera le bout de son nez au moins pour les téléviseurs voir sur quelques écrans…

    Intel sera à l’honneur dès le début de cet été avec le lancement des processeurs Core de quatrième génération. Connus actuellement sous le nom de code Haswell, ils bénéficieront d’une nouvelle architecture tout en conservant une gravure en 22 nm. Outre un gain de performances de l’ordre de 10% pour la partie processeur, les Core de quatrième génération recevront un VRM intégré et une unité graphique encore plus performante. Les processeurs mobiles seront particulièrement choyés avec l’intégration de puces HD Graphics plus véloces que celles présentes dans les modèles de bureau. Les ultrabooks auront même droit à des processeurs embarquant directement le PCH (le « chipset ») afin de réduire leur encombrement et permettre le développement d’ultrabooks plus fins, plus légers et plus autonomes, capables de lire le papier électronique couleur ? A voir...

    Du côté des GPU, AMD et NVIDIA lanceront à n’en pas douter leurs Radeon HD 8000 et GeForce GTX 800. Les rumeurs sont actuellement encore très vagues. Toutefois, AMD devrait conserver son architecture GCN (Graphics Core Next) en lui offrant quelques raffinements pour augmenter les performances tout en abaissant la consommation. NVIDIA procédera probablement de manière similaire mais pourrait bien créer la surprise en lançant (enfin) son monstrueux GK110…

    Au niveau du stockage, il faut plus attendre des baisses de tarifs qu’autre chose. Les disques durs notamment ceux de 3 To seront ainsi de moins en moins chers… Les SSD ont évolué très rapidement et saturent déjà l’interface SATA 6 Gbps dont la relève n’est pas encore réellement prévue. Cette année, les SSD de 256 Go devraient rapidement se vendre aux alentours de 150 €, le prix d’un modèle de 128 Go en 2012. Le prix au Go sera ainsi divisé par deux, passant de 1,2 € à 0,6 €. Le ratio devrait même descendre sous la barre des 0,5 €/Go lors du second semestre.

  • patch pour F.E.A.R. !

    FEAR.JPGUn patch vient d’être publié pour F.E.A.R  Project Origins, sorti le 13 février dernier. Ce patch apporte plusieurs corrections de “bugs” de gameplay et de configurations d’affichage.

    Les corrections apportées :

    - La difficulté du mode “Hard” a été accentuée.
    - Une nouvelle possibilité pour passer entre le mode d’affichage 16:9 à 4:3 a été établie.
    - Une nouvelle possibilité de réglage pour l’effet “head bob” (caméra qui se balance quand on avance) a été incrustée.
    - Une nouvelle possibilité de réglage pour le grain de l’image a été implantée.
    - Maintenant, après que l’on aie quitté une partie multijoueur, on arrivera au menu multiplayer et non au menu général.
    - Correction des fichiers audio d’armes pouvant causer des ralentissements.
    - Equilibrage correcte des équipes en mode multijoueur.
    - Le changement d’équipe à lieu à la prochaine respawn.
    - Correction du bug qui modifie le nom en “undefined” après un changement d’équipe.

    Votre jeu F.E.A.R. 2 sera mis à jour au prochain lancement de Steam.