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molenews - Page 2

  • l’évolution du jeu video : 2000 / 2010

    Le choix des lecteurs DVD et BluRay de la PlayStation

    La PlayStation 2 de Sony est sortie en Amérique du Nord à l’automne 2000. A l’époque, les lecteurs DVD étaient encore très peu installés dans les salons, chose que l’on considérerait comme impensable aujourd’hui. La PlayStation 2, intégrant un lecteur DVD, la première à le faire à l’époque, a d’ailleurs donné un bon coup de pouce à l’installation de ce format. En effet, malgré son prix élevé, les consommateurs étaient prêts à se procurer la console, puisqu’en comparaison avec les lecteurs DVD de l’époque, les prix étaient sensiblement les mêmes, et la PS2, elle, permettait de jouer à Final Fantasy et Metal Gear Solid.

    Une autre guerre de formats est apparue dans la deuxième moitié des années 2000; le BluRay versus le HD DVD. Du côté des jeux vidéo, c’était la PlayStation 3 versus la Xbox 360. Le seul problème, c’est que Microsoft n’a jamais intégré de lecteur HD DVD dans sa console; ils étaient plutôt prêts à nous en greffer un externe. De son côté, Sony a annoncé que le lecteur de la Playstation 3 serait un BluRay et que ce serait le format utilisé pour ses jeux. En plus de ça, comme la PS2, il serait possible d’écouter films et coffrets télé. Cette décision a encore une fois influencé le choix du format gagnant, puisque le HD DVD a déclaré forfait en février 2008. Tout comme sa petite soeur à l’époque, il était pratiquement meilleur marché de s’acheter une Playstation 3 pour jouer et pour écouter ses films plutôt qu’un simple appareil BluRay. En plus de tout ça, étant donné la guerre de format entre le HD DVD et le BluRay, les consommateurs n’étaient pas trop chauds à l’idée de se procurer l’un ou l’autre des lecteurs avant qu’un gagnant ne soit annoncé. Les ventes de PS3 ont certainement eu un impact plus que bénéfique pour le BluRay, qui est sorti vainqueur de cette guerre.

    L’explosion des budgets et des temps de développement

    Au cours des années 2000, nous sommes entrés dans l’ère HD. Cela se reflète dans les jeux vidéo depuis la sortie de la Xbox 360 et de la PlayStation 3. Cependant, pour offrir des jeux de plus en plus évolués et réalistes, les compagnies ont dû agrandir considérablement leurs équipes de développement. Bref, pour les méga productions, il n’est pas rare maintenant d’injecter des millions; on n’a qu’à regarder Heavy Rain, Gran Turimo 5, Grand Theft Auto IV, Assassin’s Creed, Resident Evil 5 et j’en passe. En plus de mettre de l’argent, cela coûte plus de temps en développement. Vous pourrez d’ailleurs remarquer que l’écart entre deux sorties de jeux d’une même franchise se rallonge de plus en plus, surtout lorsqu’on veut la réinventer un peu, et pas seulement y aller dans le moule de la valeur sûre.

  • Un écran LED lowcost chez Samsung ?

    Samsung annonce la sortie d’une nouvelle gamme d’écran nommé “Touch of Color” avec un premier produit très intéressant, il s’agit d’un écran *LED  accessible à tous !

    Les statistiques sont assez impressionnante, un écran PC 23″ FULL HD (1080p) de 16mm d’épaisseur avec un temps de réponse de 2MS et un contraste qui atteindrait d’après Samsung 2 millions pour un !

    Cerise sur le gâteaux, Samsung annonce que le prix de cette merveille ne devrait pas excéder 400$ aux USA (environs 300€), une première pour un écran LED de cette envergure.

    Peu d’information pour l’Europe, mais la volonté de Samsung est très intéressante.

    *LED : Une technologie de rétro-éclairage à diodes électroluminescentes qui permet de créer des écran très fin et d’améliorer le rendu des couleurs.

     

  • Lecture du livre « Comment le web change le monde »

    Ce qui m’a le plus intéressé c’est la découverte, dans la partie centrale du livre, de commentaires autour de l’idée de faire des internautes des fournisseurs de contenus « bénévoles », dont le travail permet de générer une plus-value. Au contraire de L’utopie déchue : une contre-histoire d’Internet  de Felix TREGUER, ce que j’ai lu m’a apporté la confirmation d’une hypothèse livrée sur ce blog il y a quelques temps concernant Flickr.com , bonne illustration de la notion de crowdsourcing (pp. 106-107) :

    « La ‘participation’ qui se trouve au cœur de la dynamique animant le web aujourd’hui donne ainsi lieu à un vrai modèle économique dont le pôle le plus extrême, certains diront ‘le plus brutal’, est le crowdsourcing ou, littéralement, l’‘externalisation de la production à la foule’.
    Popularisé par Jeff Howe dans un article de la revue Wired de juin 2006, il a aussitôt été repris par de nombreux blogs et par un article de Business Week pour y sensibiliser les milieux d’affaire américains. Howe repère cinq principes communs à tous les cas de crowdsourcing qu’il recence :
    les gens sont géographiquement dispersés ; les tâches doivent être divisées en microtâches car les participants ne s’y attaquent que par moments brefs ; les foules en question regorgent de spécialistes. Des vrais pros, des passionnés, des gens qui s’y connaissent ; l’essentiel de la production ne sert à rien. L’astuce est de trouver des filtres efficaces car le crowdsourcing n’augmente pas la qualité de talents disponibles, il permet de les trouver et de les mettre en relation avec d’autres ; la foule sait faire émerger les perles qu’elle produit et éliminer le reste, comme tend à le montrer Wikipedia. »

    Comment ne pas retrouver, dans nombre de ces principes, l’algorithme d’intérêt (interestingness) de Flickr, principe ludique et mystérieux motivant l’ajout de données et permettant de repérer les talents grâce à la communauté (sans nécessairement viser l’augmentation de la qualité de talents disponibles). Plus globalement, voilà qui m’amène à reconsidérer - aujourd’hui plus négativement encore qu’hier - les applications ludiques telles qu’on les trouve en abondance dans Facebook . Qu’on se le dise, le jeu n’en est pas vraiment un, et notre vision des choses est volontairement tronquée.

    Comment le web change le monde: L'alchimie des multitudes,  Livre de Dominique Piotet et Francis Pisani

  • La solution domotique de Somfy

    C'est un élément assez imposant en plastique blanc. On regrette que le design soit moins travaillé que la Somfy Box.

    Pour  utiliser cet appareil domotique dans la maison, il faut ajouter un module détecteur afin de rendre compatible le détecteur avec la box. Il suffit de brancher le module en USB sur la centrale. L'appairage est très simple : il faut choisir l'élément à ajouter depuis l'interface et appuyer sur le bouton du périphérique. En moins de 5 secondes, le détecteur de mouvement a été reconnu.

    Somfy Box.jpgNous avons également testé la caméra Somfy disponible à 299€.

    Elle est fournie avec un support et des vis pour une fixation au mur. Son installation est très simple : il faut la brancher sur secteur et la relier à la Somfy Box via un câble éthernet fourni. Nous avons rencontré un problème au moment de la configuration de la caméra. Nous ne sommes en effet pas parvenus à appairer la caméra : dans notre interface, aucun onglet équipement vidéo n'est apparu comme indiqué sur la notice.

    Un SAV et une communauté efficaces

    Nous avons donc appelé l'assistance Somfy au 3240 (6 centimes la minutes + prix d'un appel local). Après 3 à 4 minutes d'attente, un technicien nous a suggéré de passer par la partie marques pour ajouter notre caméra (produite par Axis) et a ainsi résolu notre problème en quelques minutes seulement.

    L'appairage se déroule en quelques instants. Somfy demande un identifiant et un mot de passe que nous ne connaissions pas. Après quelques recherches sur le forum Somfy, nous avons découvert qu'il suffisait d'entrer l'identifiant root et le mot de passe pass pour que la caméra soit définitivement appairée. On regrette que Somfy ne précise pas ce point au préalable, en revanche on a apprécié de trouver rapidement la réponse sur sur le forum qui s'avère être un atout précieux pour la marque.

    Une fois appairée, on a accès à l'image depuis l'interface.

     

     

  • La domotique dans sa résidence secondaire à Carcassonne

    La domotique est la solution par excellence lorsqu’une maison n’est pas habitée en permanence. Elle permet en effet de gérer de nombreux éléments à distance.

    Les systèmes d’alarme, plus que nécessaire

    Les systèmes d’alarme sont indispensables pour vous avertir instantanément en cas de tentative de cambriolage. Vous serez ainsi averti par téléphone dès lors qu’une intrusion est détectée à l’endroit de votre résidence secondaire. En fonction de vos préférences et des règlements municipaux, un système d’alerte sonore (sirène extérieure) peut être installé, tout comme un gyrophare, pour informer vos voisins, et faire fuir les malfrats.

    Une meilleure gestion des consommations en énergie

    Il est tout à fait possible de réduire les consommations en énergie dans une résidence secondaire, vu qu’elle n’est pas occupée toute l’année nous disent des artisans rénovation de Carcassonne. Définissez donc vos réglages pour que les installations électriques, le chauffage, et le système de luminosité soient adaptés selon vos besoins. À l’aide d’un simple clic sur votre smartphone, éteignez tout ce qui pourrait être consommateur d’énergie durant votre absence. Ou au contraire, allumez au dernier moment, juste avant que vous arriviez, votre chauffage. Vous pourrez ainsi faire des économies jusqu’à votre prochain passage dans cette résidence.

    L’installation de sondes, indispensable pour une maison domotique

    N’hésitez pas à faire installer des sondes dans votre résidence secondaire pour minimiser les risques d’accident durant votre absence. Une sonde peut en effet détecter une inondation et couper l’eau si vous avez fait installer une electro-vanne. Une autre peut  permettre le pliage automatique du store en fonction de l’intensité du vent, que celui-ci soit ouvert sur la terrasse en bois comme à l'hôtel W à Barcelone, les fenêtres, ou le balcon. Vous serez ainsi prévenu par SMS dès lors qu’un incident se déroule dans votre maison à cause des intempéries.

    Le système domotique pour mieux gérer la chambre

    Les fonctions de confort d’une chambre sont les premiers éléments à privilégier. Il est donc nécessaire de faire installer une commande déportée de volets électriques près du lit, ou à l’entrée de la pièce, pour simplifier l’ouverture et la fermeture des volets roulants. Un interrupteur variateur de lumière est également indispensable pour permettre une adaptation de la luminosité de la chambre en fonction du moment de la journée. Et pour dormir en toute tranquillité, une veilleuse économique qui s’éteint de manière progressive pour une courte durée peut être mise en place.

    Les installations multimédia pour plus de praticité

    Pour une meilleure gestion des appareils connectés (les enfants ont toujours une multitude d’appareils à brancher),  il est conseillé de mettre une ou plusieurs triple prise de courant dans la chambre. De plus il est  nécessaire que l’une d’entre elles soit associée à une prise multimédia. Ce système facilitera le branchement de la télé, de l’ordinateur, et du téléphone en même temps. Pour permettre le brassage des entrées des différents appareils, il faudra prévoir qu’un coffret de communication soit mis en place à côté du tableau électrique de la maison domotique.

  • Construire une veille numérique efficace - 2

    Partager des territoires de veille

    Une veille efficace ne peut se faire individuellement, voilà un autre postulat constitutif de la veille numérique. La réussite de cette dernière tient en grande partie à sa capacité à se nourrir de l'intelligence collective, à construire un savoir en commun, à faire profiter la communauté des fruits de ses recherches... Ainsi, créer des cercles de veilleurs au sein desquels chaque membre effectue une partie de la recherche générale, se partager des territoires de veille, faire confiance à la mémoire transactive (répartition des spécialités, par individus, par groupe) permet de mener une veille bien plus exhaustive.

    Des univers Netvibes, aux coopératives de veille,  en passant par des services comme Pearltrees (qui permet d'enregistrer en ligne des favoris, de les organiser et de les éditer à plusieurs), de nombreuses solutions existent pour mener à bien une veille collaborative : voir aussi Goodreads.

    Diffuser les fruits de ses recherches

    Pratique de plus en plus courante, la diffusion de sa veille via des réseaux sociaux contribue également à inclure le veilleur dans un réseau. Twitter permet par exemple de créer des listes des comptes suivis ainsi que de les partager et, avec son système "follower/following", de fédérer des membres autour d'un sujet précis. Au même titre, les plates-formes de curation telles que Scoop It représentent des outils efficaces pour rassembler des personnes intéressées par un même sujet et mutualiser la connaissance. Outre le fait que ce service permet de centraliser les fruits de sa veille en créant des topics (pages thématiques) sur un sujet précis et de les diffuser, il offre la possibilité aux utilisateurs de s'abonner aux comptes d'autres usagers, de suivre leur veille et ensuite de « rescooper » l'information (comme ils la « retweeteraient » sur Twitter) c'est-à-dire de la redistribuer.

  • Construire une veille numérique efficace

    A l'heure où les informations de toutes natures ne cessent de se multiplier, risquant à tout moment de nous faire succomber d'une crise d'infobésité, il devient plus que nécessaire de mettre en place une veille numérique efficace. Gain de temps important, sélection et découverte de ressources pertinentes, partage de ses trouvailles sur la Toile figurent parmi ses nombreux avantages.

    Zoom sur quelques outils/pratiques pertinent(e)s, hérité(e)s du web 2.0, qui permettent de construire au mieux sa propre veille et de la redistribuer.

    Automatiser sa veille avec les flux RSS

    Ce qui distingue la veille numérique des autres processus de veille est sans nul doute les phénomènes d'automatisation et de collaboration qui lui sont intrinsèquement liées. Apport fondamental du web 2.0, l'automatisation consiste à faire venir à soi les contenus potentiellement pertinents et à ne plus avoir à les chercher. Fini le temps de la méthode Pull où il fallait visiter site après site pour trouver l'information pertinente et répéter cette action régulièrement pour ne louper aucune nouvelle donnée, place à la technique Push !

    Cette petite révolution a été rendue possible grâce aux flux RSS (Really Simple Syndication), formats standards de données utilisés pour diffuser les mises à jour de sites dont le contenu change fréquemment.

    Facilement reconnaissables sur certains sites par le logo orange qui les représente, les flux RSS permettent d'être prévenu automatiquement dès qu'un nouvel article est publié et de suivre plusieurs fils d'actualité en même temps. Il ne reste dès lors plus qu'à centraliser toutes ces informations en un seul et même lieu en s'abonnant via un agrégateur en ligne (Netvibes, Google Reader) ou sur son poste de travail (Thunberbird par exemple).

     

  • Test du Palm T|X

    C’est avec une certaine fébrilité et une impatience non dissimulée que nous nous sommes précipités sur le colis du Palm T|X, tant le LifeDrive nous avait laissé quelque peu sur notre faim …

    Le T|X, est le premier modèle à sortir depuis le changement de nom de PalmOne vers Palm, et au passage le nom Tungsten (tout comme Zire) a été abandonné pour ne garder que la première lettre des modèles, soit la série T (professionnelle) ou la série Z (loisir).

    Présentation

    Au niveau du package, le T|X est livré dans une boîte grise argent sur laquelle figure le nouveau logo Palm orange et bien sûr une photo et la description du produit.

    La boîte contient : le Palm T|X, un rabat de protection dans une nouvelle matière, différente du T5, le câble de synchronisation USB (avec un bouton dédié pour lancer la Hotsync) différent du T5, le câble d'alimentation avec le sempiternel jeu de prises internationales très pratiques en vacances (4 types de prises: en V, FR, UK et USA), un CD d'installation (mixte Windows/Mac) et enfin un manuel pour les premiers pas, la licence d'utilisation, des autocollants Graffiti 2 pour aide-mémoire et une protection d'écran standard qu'il faudra découper à la taille adéquate de l’écran du T|X.

    Tout y est rangé bien précieusement et impeccablement protégé.

    Un petit regret, comme pour le Tungsten T5, nous avons à regretter l'absence d’une station d'accueil qui peut néanmoins s’acquérir en option et qui offre ainsi au Palm stabilité et facilité de recharge-synchronisation mais il s’agit surtout pour Palm de pouvoir ainsi proposer son modèle T|X à un prix particulièrement attractif.   

    Le T|X ressemble comme deux gouttes d’eau au Tungsten T5 et pour cause : Il en reprend le ‘form factor’ exact, en y ajoutant en sus la connectivité Wi-Fi au Bluetooth déjà présent sur le Tungsten T5. Seule sa couleur change, il est bleu très foncé (presque noir au premier coup d’œil …) et la matière de sa coque (en plastique).

    Comme on peut le constater, de par ses dimensions, le T|X se glissera facilement dans toutes les poches … ou presque !

    Son stylet au glissé agréable sur l'écran est le même que celui du Tungsten T5

    Seule la marque "Palm" figure sur la façade avant de la machine, sans le nom du modèle. Il faudra retourner le T|X pour y voir son nom mentionné à l’arrière du PDA

    En face avant, on retrouve quatre boutons classiques (Accueil, Agenda, Contacts, Web) et un bouton multidirectionnel (4 directions + 1 validation au milieu).

     

     

     

     

  • Avoir un réseau multimédia intégré dans sa maison

    La télé, Internet, le téléphone, l'imprimante accessibles facilement depuis toutes les pièces de votre maison, du salon à la cuisine, et le tout sans rajouter d'ondes inutiles ! ça vous tente ? Votre solution, c'est l'installation d'un réseau multimédia.

    Qu’est-ce qu’un réseau multimédia ?

     Il se compose :

    • D'un coffret de communication.
    • De câbles VDI (voix données images).
    • Des prises terminales RJ 45.
    • Des cordons pour raccorder les équipements.

    A quoi sert un réseau multimédia : maison, cuisine, jeux ?

    Un réseau multimédia permet de distribuer les médias dans toutes les pièces de la maison. Vous pouvez ainsi depuis chacune de vos pièces : 

    • Brancher votre téléphone,
    • Lire un DVD depuis votre lecteur DVD branché dans votre salon,
    • Surfer sur Internet en haut débit,
    • Avoir accès sur votre télé à tous les services proposés par votre fournisseur : programme TV, replay, VOD, radio, etc,
    • Avoir accès à vos fichiers, photos, films, musique, s'ils sont stockés sur un serveur ou sur le disque dur de votre ordinateur,
    • Surveiller l'extérieur de votre maison
    • gérer votre cuisine intelligente connectée !
    • Brancher votre console de jeux,
    • Imprimer sur une imprimante située dans le bureau,
    • etc.

    Plus besoin du Wi-Fi en permanence ! Cette solution risque de ravir les partisans d'une maison saine... 

    Comment le réseau multimédia fonctionne-t-il ?

    1. Le coffret de communication est installé dans la Gaine Technique Logement (GTL), sous ou à côté du tableau électrique. C’est l’emplacement prévu par la norme NFC 15-100.
    2. Vous placez la box ADSL dans ce coffret.
    3. Le coffret est connecté à des prises de communication RJ 45 par des câbles VDI.

     

  • The Fancy est un site d’e-commerce similaire à Pinterest qui utilise la gamification

    The Fancy se définit comme étant « un magasin, un blog, un magazine et une liste d’envies. ». “Fancy” ça signifie “avoir envie de” et pas seulement faire un caprice

    The Fancy, qu’est-ce que c’est ?

    Il s’agit d’ un site américain fondé en 2010 par Joe Einhorn. L’équipe est composée de  25 personnes dont 23 développeurs qui développent cette technologie permettant cette expérience shopping.

    The Fancy a bénéficié d’une réunion d’investisseurs composée de personnalités comme Jack Dorsey, le fondateur Twitter, un des co-fondateurs de Facebook, François-Henri Pinault qui a investi 10 millions, …

    Dans une interview, le Vice-Président France Paul Dupuy note : L’application est déjà disponible dans des dizaines de langues . Elle est utilisée partout dans le monde par 2 millions de membres. On note une forte présence d’utilisateurs masculins (55%), contrairement à Pinterest qui compterait 80 ou 90% de femmes. Aujourd’hui le plus grand nombre d’utilisateurs se trouvent aux USA  (50%). Pour la France, nous sommes environ à 5% d’utilisateurs, c’est un jeune marché.

    Les objets présentés à l’achat vont du sucrier design à la réservation d’un hôtel de luxe aux Maldives en passant par une paire de chaussures Louboutin. On peut “fancy” – aimer – des objets comme sur Pinterest. Il suffit ensuite de deux clics pour passer à l’achat de l’objet en question. L’acheteur peut créer ses propres listes d’objets préférés, créer son propre magasin et même se transformer en vendeur s’il est affilié au réseau.